niedziela, 20 października 2013

Une promenade sensorielle.


Prendre une promenade, sans debut et sans but. Seulement pour passer le temps et pour prendre plaisir. Peut la promenade se poursuivre a l'infini? C'est pas le poteau d'arrivee qui est plus important, mais la voyage elle meme. Les endroits qui on decouvre de fortune, les sentiments qu'ils appellent sont toujours fortes et ils creent des souvenirs.

Parcourir, passer, entrer l'une, et sortir l'autre cote. On peut rester dans une lieux qui nous interesse, reflechir et sentir l'entourage, garder de memoire, prendre un photo, faire un croquis, mais apres - aller plus loin, decouvrir plus.

Sur la plage, ou terre doucement descends a la mer on sent toujours le majestat de la nature. C'est comme une salutation de terrain seche a l'eau. Une invitation de rentrer cette espace qui ressemble infini. Semble intime et mysterieuse seulement au lever et coucher du soleil, en journee surpeuple, en nuit incommesurable.

Sur la piste de notre parcour, il est bien d'avoir le choix, la possibilite d'eviter le labyrinthe, et si on se depeche, de pouvoir seulement lancer un coup d'œil.

Avec mon idee, j'ai derrange cette harmonie en coupant le borde avec les murs en beton brute, avec le quai, qui conduit jusqu'au l'eau. Le passage descende et monte comme une vague, en presentant et cachant le vue sur l'horizont.
La piste se change au cours d'une journee, mois, avec les marees. Parfois peut etre fermee par l'eau, parfois reste seche. Les trous dans les murs nous donnent la perspective simple, coupe avec l'horisont. On change les hauteurs - de niveau du terrain, par les escaliers, jusqu'au quai. On change la nature de la mer ouvert, les vauges entrent le quai, entrent a la plage, mais certaines sont coupees par les murs.

Cette coupe du promenade on peut multiplier, agrandir, en changant avec les changes du cote. Elle peut etre seulement un accent en notre balade calme, ou le modele pour copier pour urbaniser toute la frontiere entre la terre et l'eau.

Horizontale, quand elle semble de conduir a l'infinite.
Verticale quand elle monte et descende.
Profondeur de l'eau change l'hauteur d'edifice.
Elle donne l'ombre dans le terrain nu.
Ouverte pour tout le monde, peut offrir de la solitude.











sobota, 12 października 2013

Geometry of feelings – Juhani Pallasmaa


01.- La maison comme un signe de la culture dans le paysage, la maison comme une projection de l'homme et un point de référence dans le paysage


 02.- S’approcher au bâtiment, tout en reconnaissant une habitation humaine ou une institution donnée sous la forme d'une maison


03.- Entrée dans la sphère d'influence de l'immeuble, entrer dans son territoire, étant près du bâtiment


 04.- Avoir un toit sur votre tête, être abritée et ombragée


 05.- Entrer dans la maison, entrer par la porte, traverser la frontière entre extérieur et intérieur



06.- Être dans la chambre, un sentiment de sécurité, un sentiment d'unité ou d'isolement;


 08.- Rencontrer la lumière ou l'obscurité qui domine l'espace, l'espace de la lumière;




 07.- Être dans la sphère d'influence des foyers qui réunissent le bâtiment ensemble, comme la table, un lit ou la cheminée;


09.- Regarder par la fenêtre, le lien avec le paysage.